Durant cinq mois, le réalisateur Nicolas Moscara a pu suivre un groupe de candidats aux épreuves de sélection du GIGN.
Créé il y a trente ans, le Groupe d'intervention de la gendarmerie national, qui a pour mission de lutter contre le grand banditisme et le terrorisme, n'accueille en ses rangs que l'élite de la profession, sélectionnée sur des critères très sévères.
Aussi, cinq mois durant, François, Jean-Marie, Stéphane, Benoît et Philippe doivent-ils subir une batterie de tests visant à mettre en évidence les qualités physiques et mentales de chacun, sous la conduite des opérationnels du GIGN.
Une période à la fois éprouvante et enrichissante pour les futures recrues, dont la motivation ne doit jamais fléchir.

Comment s'opère cette sélection tenue secrète jusqu'à aujourd'hui, c'est ce que nous fait découvrir « GIGN, à l'épreuve de la sélection », un film de Nicolas MOSCARA qui a pu suivre exceptionnellement pendant cinq mois un groupe de candidats parmi lesquels François, Jean-Marie, Stéphane, Benoît et Philippe.
Cinq mois de tests pour mettre en évidence les qualités physiques et morales de chacun sous la conduite des opérationnels du « GIGN » qui partent régulièrement sur le terrain pour des missions souvent très risquées.
Seuls les meilleurs, ceux dont la motivation est la plus forte seront finalement choisis pour intégrer ce corps d'élite et exercer un métier véritablement hors du commun

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Le RAID, le corps d'élite de la police française, assume des missions hautement dangereuses.
En témoigne l'arrestation d'un terroriste présumé en Corse, filmée avec l'autorisation du juge Gilbert Thiel.
Ses membres doivent faire preuve de capacités physiques et mentales peu communes, pour faire face à des situations stressantes.
Une semaine durant, à Saint-Malo, 120 candidats affrontent des épreuves de toutes sortes, en vue d'un recrutement au sein du RAID.
Seuls dix d'entre eux seront retenus.
Trois postulants, Franck, Camille et Rudy, sont suivis par les caméras du «Droit de Savoir».

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Le cours de l'or atteint aujourd'hui des sommets, et ce métal précieux, encore abondant dans la forêt guyanaise, attire des milliers de «garimpeiros».
Le réalisateur Nicolas Moscara a suivi la trace de ces orpailleurs clandestins installés en Guyane.
Venus du Brésil par centaines, regroupés dans des villages perdus en pleine jungle, ils pillent une terre fertile sans ménagement pour assurer leur survie, au détriment des populations locales.
Gilmar et Bocca sont deux travailleurs brésiliens qui extraient l'or dans la clandestinité la plus totale et dans un climat de violence extrême.
Pour réguler cette nouvelle ruée vers l'or, l'Etat français a lancé l'opération Anaconda, dont l'objectif principal est de lutter contre l'orpaillage clandestin en dépêchant dans la jungle des gendarmes surentraînés.

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Depuis une vingtaine d'années, le monde très viril de la gendarmerie a ouvert ses portes aux recrues féminines.
Deborah, Christine et Sandrine sont de ces «femmes d'honneur» popularisées par Corinne Touzet : portraits croisés.

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Ces chiens, véritables « gendarmes à 4 pattes », ont régulièrement les honneurs du défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées. Une reconnaissance à la hauteur du travail accompli et à leur nombre : ils sont près de 450 à travailler, dans l’hexagone, pour notre sécurité !
Le centre qui forme les équipes cynotechniques d’élite se trouve à Gramat, dans le Lot (46). C'est ici que passe tous les chiens et tous les maîtres qui travailleront ensuite pour la gendarmerie nationale, dans des brigades aussi diverses que celles du GIGN où du PGHM, spécialisée dans la surveillance des espaces montagneux.
Si la sélection pour entrer au GIGN est particulièrement difficile pour les hommes, il en va de même pour leurs futurs équipiers. Parmi tous les chiens recrutés par la gendarmerie, seul 1 animal sur 500 est en mesure d'intégrer l’unité d'élite… Leur séjour à Gramat va durer 10 semaines. Des semaines au cours desquelles des exercices de plus en plus pointus et difficiles vont leur être proposés par les instructeurs.
Le centre national d'instruction cynophile de la gendarmerie nationale ne se contente pas de former des chiens d'intervention. Outre les traditionnels chiens de recherche d'explosifs et de stupéfiants, de nouvelles approches sont expérimentées par le groupe d'investigation. En exclusivité pour 30 Millions d’Amis, dans le domaine du pistage, vous pourrez découvrir une nouvelle race de chiens en réaction : le Saint-hubert…
Autre nouveauté et c’est une autre exclusivité, des chiens de recherches de produits accélérateurs d'incendie.
Deux chiens ont déjà terminé leur formation dans cette discipline jusqu’alors inconnue en France.
Il est souvent difficile pour les enquêteurs de la gendarmerie ou de la police de savoir où et comment un incendie a démarré, et surtout si ce dernier est d'origine criminelle ou non. Et bien, des chiens peuvent désormais donner un sérieux « coup de pattes » à l'enquête…
Le centre de Gramat instruit, chaque année, plusieurs dizaines de nouvelles équipes cynophiles. Des chiens formés à des techniques de plus en plus perfectionnées !

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Depuis trente ans, les interventions à haut risque constituent le domaine de compétence du GIPN. Les neuf groupes d'intervention doivent ainsi faire face à des situations de crise d'une exceptionnelle gravité.

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Plusieurs membres du GIGN, qui délivrèrent en 1994 au péril de leur vie un avion d'Air France pris en otage, évoquent leurs valeurs et leur engagement.
En décembre 1994, un commando terroriste du GIA (Groupe islamique armé) algérien prend en otage à Alger un Airbus de la compagnie Air France, avec ses passagers et son équipage.
Après plusieurs jours d'angoisse, c'est finalement le GIGN (Groupement d'intervention de la Gendarmerie nationale) qui parviendra à libérer l'appareil au prix d'un assaut très risqué.
Thierry, ancien chef de groupe au GIGN, évoque ici ce qu'il ressentit lors des dernières secondes précédant l'attaque.
Il est aujourd'hui invalide, ayant été criblé de balles ce jour-là.
Avec quelques-uns de ses collègues, il parle de son rapport à la mort et de la signification que revêtent pour lui les mots de patrie, de devoir, de sacrifice, bien loin de l'image de cow-boy associée à ce corps d'élite.

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Didier Cros a promené sa caméra dans la plus importante école de gendarmerie de France.
Durant dix mois, il montre comment quatre-vingt-quinze élèves forgent leur caractère pour se préparer à affronter un métier difficile.
Divisé en quatre parties, le documentaire suit du début jusqu'à la fin la formation de la 263e promotion de sous-officiers de cette école de gendarmerie, la plus importante de France.
Intitulé "Hiver (rigueur)", le premier volet montre la rude plongée de ces élèves dans la vie militaire.
La deuxième partie, "Printemps (discipline)", s'intéresse aux efforts des officiers instructeurs pour mettre en garde leurs jeunes recrues contre tout abus de pouvoir.
La troisième, "Eté (travail)", montre les élèves de retour de stage et la carapace qu'ils se construisent pour affronter la dureté de leur métier.
Ils doivent ensuite se plonger dans les révisions, ce qui amène le dernier chapitre, "Automne (l'examen)".
La fin du film insiste sur la force des liens qui se sont tissés durant ces dix mois sans pour autant verser dans l'idéalisme.

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L'Escadron Parachutiste et d'Intervention de la Gendarmerie Nationale est une unité d'élite, de renommée internationale dont les principales missions sont: lutter contre le banditisme et le terrorisme et intervenir dans le cadre d'opérations de maintien de l'ordre, de sécurité et de protection.
Pour faire face à des situations de crise nationales et internationales (opérations d'otages, plan d'évacuation de ressortissants...), ces parchutistes, formés à toutes les disciplines de combat, sont aussi plongeurs, spécialistes en explosifs et pièges, tireurs d'élite, démineurs....

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Reportage sur le groupe d'intervention italien, équivalent du GIGN français.

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A un moment où la société française se mobilise comme jamais autour des problèmes de sécurité, l’éclairage que donne Christophe de Ponfilly va surprendre. Il rappelle la dimension humaine de l’engagement des hommes dans des missions dont on retient souvent uniquement l’aspect spectaculaire ou polémique. Il dépasse tous les clichés du genre.
En suivant la quête de vérité d’un ex-gendarme, Michel Bernard, 11 années opérationnel en qualité de sous-officier au GIGN, ce film pose les questions justes et amène des réponses sans concession.
Dans ce film hors du commun, si la gravité est là en permanence, le rire est loin d’être absent, comme en témoigne les propos, philosophes et lucides, d’un viticulteur qui fait goûter son vin à deux anciens du GIGN: “C’est emmerdant de vieillir... Mais ça a quand même un avantage : plus t’as vieilli, plus t’as fait de conneries. Si t’es pas complètement idiot, tu t’en es rendu compte. Parce que ceux qui n’ont pas fait de conneries, c’est qu’ils sont vraiment cons. Moi, je sais que je suis con. Mais je suis moins con qu’un con qu’est plus con que moi. (rires) Comme m’a dit un gars, qu’était pas trop dégourdi et que sa femme était toujours à traiter de con. “Elle me dit sans cesse que je suis con. J’en ai marre, aussi je lui ai dit: “ T’es toujours à dire que je suis con, hein! Ben, pendant que tu y es, t’as qu’à dire que je suis le roi des cons.” Elle a répondu: “ Non! Parce que t’es trop con pour être le roi!! (rires)”

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Aujourd’hui, le marché européen est devenu une des principales sources de profit pour les cartels de la drogue : 80 milliards d’euros en 2005 pour 250 tonnes de cocaïne.
Les trafiquants sont prêts à tout pour écouler leur marchandise, au mépris des lois et des vies humaines. Face à cette menace, des policiers de
choc, les 150 hommes de l’Office central de lutte contre le trafic de stupéfiants.
Depuis le début de l’année, avec la marine nationale et les douanes, ils ont intercepté 7 tonnes de cocaïne dans la zone Antilles-Guyane, l’un
des points stratégiques de la nouvelle route de la coke…
Pour la première fois, une équipe de journalistes a obtenu l’autorisation de les filmer en opération contre les barons de la drogue.
Dans cette chasse aux trafiquants, les policiers de l’OCTRIS risquent leur vie. Les caméras de Zone Interdite les ont suivis lors de l’interception d’un « go-fast », un cortège de voitures puissantes, bourrées de drogue, qui remontent à grande vitesse les autoroutes françaises jusqu’à Paris. Au sud de l’Espagne, un indicateur avait donné le signalement du convoi.
L’arrestation musclée se fait de nuit sur un parking d’hôtel.
Opération réussie. Autre intervention spectaculaire, lorsqu’un navire de la marine nationale arraisonne en pleine mer, au large des Antilles, un chalutier suspect et une vedette rapide chargée de cocaïne.
Aujourd’hui, les hommes de l’OCTRIS traquent les convoyeurs de drogue aux quatre coins de la planète. Une de leurs principales missions consiste à couper la nouvelle route de la coke, qui inonde la France via les Antilles et l’Afrique de l’Ouest. Nous les avons filmés dans ce combat sans merci.
Ecoutes téléphoniques, filatures, perquisitions… il faut de longs mois d’enquête pour démanteler un réseau : à Fort-de-France, nous avons accompagné les hommes de l’OCTRIS sur la piste de la « Martiniquaise connection ». Nous avons également suivi l’arrestation de «bouletteux », ces passeurs qui avalent la cocaïne sous forme de boulettes et la transportent dans leur ventre au péril de leur vie.

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Reportage sur le stage d'aguerrissement de l'ESM St Cyr.

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Aujourd’hui en France, pour résoudre une affaire criminelle, enquêteurs et magistrats font systématiquement appel à la police scientifique et technique. Empreintes génétiques, expertises balistiques, analyses en laboratoire… les indices découverts sur le terrain sont déterminants. Pour le procureur en charge des flagrants délits, ces éléments permettent d’identifier les voleurs, les braqueurs et les assassins.
Pendant plusieurs mois, au cour du Palais de Justice de Paris et sur les scènes de crime, les caméras de Zone Interdite ont suivi le travail des experts de l’identité judiciaire et des magistrats des flagrants délits.
> Les experts de la PJ : « Quand on cherche, on trouve », telle est la devise de Gilles. Depuis 10 ans, ce gardien de la paix travaille au service de l’identité judiciaire à Paris, où il relève des empreintes sur les scènes de crime. Un poste qu’il ne quitterait pour rien au monde, tant son métier le passionne.
190 personnes travaillent comme lui dans ce service où on utilise des moyens de plus en plus sophistiqués pour identifier les auteurs de crimes et de délits : les uns analysent les scellés, les autres dressent des profils ADN ou font des recherches en laboratoires pour détecter des traces de drogue ou de poison, les petits génies de l’informatique ou de la téléphonie font parler le matériel qu’on leur soumet...
Une énorme logistique qui permet d’élucider des affaires complexes, comme celles que nous avons suivies : une tentative d’extorsion de fonds avec violence dans un hôtel, la mort suspecte d’une femme à son domicile et le meurtre d’un homme retrouvé attaché à son lit avec une cravate.
> Madame le Procureur : Depuis 2 ans, Véronique Degermann est responsable de la permanence des flagrants délits au Parquet de Paris : une équipe de 9 magistrats qui travaille 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. En temps réel, ils sont informés par la police de tous les crimes, délits,
arrestations et gardes à vue de la capitale. Dans le bureau de Madame le Procureur se succèdent les voleurs, les détraqués mentaux, les trafiquants. Après avoir écouté leur version des faits, elle décide de leur avenir, toujours dans l’urgence. Elle peut les convoquer au tribunal, les renvoyer devant un juge d’instruction, les mettre en prison ou leur rendre la liberté.
Dans les cas d’homicide ou de mort suspecte, elle se déplace sur les scènes de crime, de jour comme de nuit, pour déterminer les suites de l’enquête en fonction des premiers éléments. Pour la première fois, des caméras ont été autorisées à filmer son travail.

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Sélection et entraînement des commandos de marine.

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Reportage sur l'intervention du GIGN suite à la prise d'otages dans un Airbus d'Air France en décembre 1994.
Libération des 164 passagers du vol Vol AF 8969 pris en otages par 4 terroristes du GIA qui projetaient de crasher l'avion sur la Tour Eiffel.
Le GIGN donna l'assaut à l'appareil, posé à l'aéroport de Marignane près de Marseille, et parvint à tuer les quatre terroristes et à sauver tous les otages, sans pertes du coté des gendarmes mais neufs blessés à des niveaux divers.
L'assaut fut filmé par la télévision, et rendit célèbre le Groupe dans le monde entier.
Peu après au GIGN se déroulait la cérémonie fêtant les 20 ans du Groupe, qui fut l'occasion d'un bilan : plus de 650 missions menées, plus de 500 otages libérés, une douzaine de terroristes tués, plusieurs centaines de criminels et de terroristes arrêtés par le GIGN, qui déplore pendant cette période la mort de 5 de hommes à l'entraînement et 19 blessés en opération (dont les 9 de l'assaut de Marignane).

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Reportage sur l'intervention du GIGN suite à la prise d'otages dans un Airbus d'Air France en décembre 1994.
Libération des 164 passagers du vol Vol AF 8969 pris en otages par 4 terroristes du GIA qui projetaient de crasher l'avion sur la Tour Eiffel.
Le GIGN donna l'assaut à l'appareil, posé à l'aéroport de Marignane près de Marseille, et parvint à tuer les quatre terroristes et à sauver tous les otages, sans pertes du coté des gendarmes mais neufs blessés à des niveaux divers.
L'assaut fut filmé par la télévision, et rendit célèbre le Groupe dans le monde entier.
Peu après au GIGN se déroulait la cérémonie fêtant les 20 ans du Groupe, qui fut l'occasion d'un bilan : plus de 650 missions menées, plus de 500 otages libérés, une douzaine de terroristes tués, plusieurs centaines de criminels et de terroristes arrêtés par le GIGN, qui déplore pendant cette période la mort de 5 de hommes à l'entraînement et 19 blessés en opération (dont les 9 de l'assaut de Marignane).

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Michel Fourniret (4 avril 1942 à Sedan, France - ) est un Français qui a été incarcéré en Belgique après une tentative d'enlèvement en juin 2003. Il a d'abord été surnommé le « Forestier des Ardennes », car il s'était prétendu forestier auprès des policiers, métier qu'il n'a en fait jamais exercé.

Impliqué dans de nombreuses affaires de pédophilie allant jusqu'au meurtre, il sera jugé prochainement en France pour les crimes commis en France et en Belgique.

Il a pour l'instant avoué neuf meurtres commis entre 1987 et 2001, mais il est soupçonné d'une dizaine d'autres crimes.

Un de ces meurtres se distingue des autres : il a en effet assassiné la femme de son ancien compagnon de cellule Jean-Pierre Hellegouarch car celui-ci avait révélé à son épouse l'emplacement des restes du butin du fameux gang des postiches. Cet argent permis à Fourniret de continuer ses activités en toute impunité.

Son procès aura lieu à Charleville-Mézières à l'automne 2006. Il a été extradé de Belgique où il était en prison depuis 2003, le 9 janvier 2006.

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Vidéo de démonstration du GIGN lors du 30ème anniversaire de la création de l'unité.
Cette vidéo a été réalisé et monté par par JP, webmaster du site [gign.org.]

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Cette unité parachutiste est spécialement formée pour l'engagement dans des opérations d'envergure dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme.
Parmi les cent-trente-neuf membres de l'unité, quelques femmes ont pour missions la surveillance, la filature et le concours technique.

Ce reportage avait déjà été diffusé sur France 2 dans "Envoyés spécials".

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Démonstration de maîtres-chien gendarmerie en 1997 à Chateauroux, lors des journées portes ouvertes.

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L'armée de terre compte, en effet, une unité cynophile : le 132e Bataillon cynophile (132e BCAT), basé à Suippes, dans la Marne (51).
Ce régiment particulier forme et entraîne chaque année environs 250 chiens qui servent au sein de l’armée de Terre, mais aussi de l’armée de l’air et de la marine.

Loin des clichés des chiens d’attaque, cette émission nous montre le patient et exigeant travail de formation des chiens, la complicité avec leur maître et la finalité de ces entraînements qui permettent une complémentarité opérationnelle grâce aux qualités spécifiques du binôme homme-chien.

Plus qu’un fidèle compagnon, le chien devient un « compagnon d’armes », auxiliaire précieux du combattant.

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Pour la première fois un documentaire, dont le tournage a duré plus de deux ans, est consacré aux forces spéciales.
Ces hommes peuvent être projetés à tout moment partout dans le monde.
Lutte anti-terroriste en Afghanistan, extraction de ressortissants, libération d'otages, arrestation de criminels de guerre, lutte contre le narcotrafic, interposition dans des conflits aux causes aussi diverses que politique, ethnique ou religieuse sont les types d'opérations auxquelles sont confrontées les unités des forces spéciales.

Leurs missions ne sont jamais clandestines mais toujours secrètes.
Les missions : mener des actions ciblées et contrôlées, limitées dans le temps et dans l'espace, sur les centres de gravité de l'adversaire.
Le niveau technique d'intervention est élevé, les hommes se doivent d'être opérationnels à tout moment, d'être hautement spécialisés, équipés d'armes et de matériel ultralégers.
Leur force réside dans le simple fait de pouvoir apporter une réponse proportionnelle et maîtrisée de l'usage de la force, l'effet de surprise comptant pour beaucoup.
Les forces spéciales françaises sont composées de 2 500 hommes, issus d'un recrutement rigoureux et ayant subi une formation de plusieurs années, ces soldats pas tout à fait comme les autres sont des gens dont l'une des qualités principalement recherchée est la maturité.
Ce film montre des séances d'entraînement spécifiques à ces unités mais également des missions réelles.
Le tout décrypté par des experts indépendants, qu'ils soient journalistes, historien, ou spécialistes Défense.
Forces spéciales, tout le monde en parle mais personne ne sait vraiment qui ils sont.

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La mission de la Division nationale antiterroriste, la DNAT, est de lutter contre toutes les formes d'actions violentes menées par les extrémismes religieux, les nationalistes régionaux ou les tentatives de déstabilisation initiées à des fins terroristes.
Les caméras ont, pour la première fois, été autorisées à suivre les agents de cette division à part.
Sur le dossier de l'organisation séparatiste basque, ils montrent quelles ont été les méthodes employées pour démanteler les réseaux parallèles.
Appuyées par une efficace diplomatie secrète, les filatures et les interpellations ont permis de contraindre l'ETA à annoncer finalement, au printemps 2006, l'abandon de la lutte armée.

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Avec ses 8000 hommes de 130 nationalités entraînés pour le combat, son code d'honneur immuable et sa discipline de fer, la Légion Etrangère tient une place à part au sein de l'armée française.
Les légionnaires sont des guerriers, mais aussi des frères : la Légion leur tient lieu de famille, de patron et de patrie.
Quand ils s'engagent dans ses rangs, ils tirent un trait sur leur passé et mettent de côté leur vie civile.
Que viennent-ils y chercher ? Comment font-ils pour « rentrer dans le moule » malgré leurs différences ? Qu'y a t'il derrière le mythe du légionnaire ?
Zone Interdite a enquêté plusieurs mois au coeur de la Légion.
Cette émission sera présentée par Mélissa Theuriau depuis la base du 2ième REP à Calvi.

Aubagne, centre de recrutement.
Castelnaudary, centre d'instruction.
Calvi, 2ème Régiment Etranger Parachutiste, 4ème compagnie.
Djibouti, entraînement commando.

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Chargés de la lutte contre le banditisme et le terrorisme, les hommes du GIGN travaillent avec une pression constante : ils n'ont pas droit à l'erreur.

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L’histoire des polices d’élite

L’idée d’une police d’élite est née en Europe, et en France, suite à l’attentat survenu aux Jeux olympiques de Munich, en 1972.
Pris en otages, onze athlètes israéliens meurent à cause, entre autres, de l’inexpérience et du manque de préparation de la police allemande.
Le Groupe d’Intervention de la Police Nationale (GIPN) voie le jour deux mois après ce tragique événement, suivent le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN), en 1974, et l’unité de Recherche, d’Assistance, d’Intervention et de Dissuasion (RAID), en 1985.
Les zones de leurs compétences sont délimitées par des règles précises.
Avec 130 hommes pour le GIGN, 160 pour le RAID et à peine plus pour les GIPN... les règles de recrutement sont sévères et contribuent au mythe de ces polices d’élite.
Malgré tout, ces unités semblent réellement répondre à des besoins spécifiques et jouer un rôle que les forces classiques de maintien de l’ordre auraient du mal à endosser aussi bien.



Les négociateurs

Qui sont ces hommes dont l’objectif est de désamorcer des situations de crise ?
Quelles sont leurs techniques pour convaincre un forcené de se rendre ou un ravisseur de relâcher son otage ?
"Dossier Scheffer" a suivi ces policiers exceptionnels en pleine mission.
Les négociateurs sont, dans la majorité des cas, confrontés à des forcenés qui, retranchés, menacent de se suicider.
L’objectif est de trouver une issue pacifique au conflit. La prise de contact étant une étape primordiale.
Lorsque la vie d’otages est en jeu les priorités sont les suivantes : préserver ces victimes, neutraliser le preneur d’otages et enfin, protéger la sécurité du personnel intervenant.
L’objectif des unités d’élite est avant tout d’éviter l’assaut.
L’authentique réussite de la négociation s’accompagne de la reddition d’un individu grâce à la raison qui parvient à reprendre le dessus.
L’échange de mots en lieu et place de coups feu.


Le forcené de Rouxellières

"Dossier Scheffer" vous raconte l’histoire d’une intervention spectaculaire du GIGN, qui s’est déroulée en 1986, aux Rouxellières, un petit hameau paisible et sans histoire, perdu dans la campagne bretonne.
Depuis quelques jours, Clément Bienvenu fait l’objet d’une suspension de permis de conduire et ne le supporte pas.
Chasseur émérite, il est bien décidé à en découdre avec les gendarmes.
Carabine à la main, il guette le képi.
L’alcool aidant, l’homme confond la lampe torche de ses voisins avec celle des gendarmes.
Il ouvre le feu et blesse trois personnes.
Les gendarmes arrivent. L’affaire se présente mal...
A 8 heures du matin, le GIGN est appelé à la rescousse.
A midi, un petit hélicoptère dépose aux Rouxellières le patron d’alors du GIGN, Philippe Legorjus, et ses deux adjoints, Henri Malfatti et Jean-Pierre Picon.
Clément Bienvenu sort de sa maison et échappe au périmètre de sécurité. Les hommes du GIGN se lancent à sa poursuite à travers champs. Henri Malfatti et Jean-Pierre Picon prennent le forcené en tenailles.

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Au coeur de tous les dangers : enquête sur la sélection des pompiers d'élite

Un stage unique au monde permet de sélectionner les pompiers aptes à effectuer les missions les
plus périlleuses.
Les douze stagiaires sont soumis à une sélection.
Seuls quelques-uns rejoindront les 53 hommes du Grep, le Groupe de Recherche et d'Exploration Profonde,
reconnu comme l'élite des pompiers de France.
Leurs instructeurs ont la lourde tâche de ne retenir que les meilleurs éléments.
Pour les départager, ils exercent une pression psychologique de tous les instants sur les stagiaires.
Au-delà des qualités physiques, ils doivent en effet, faire preuve d'une grande résistance au stress et
d' un esprit d'équipe inébranlable.
Les épreuves s enchaînen et de jour comme de nuit dans des conditions extrêmes, proches de la
réalité qui les attend sur le terrain.

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Ils sont 500 policiers pas comme les autres, chargés de protéger les personnalités officielles françaises ou étrangères les plus en vue.
Ils ont entre leurs mains la vie des ministres, des candidats à la présidentielle mais aussi celle de tous les chefs d'Etat en visite en France.
Ecouteurs vissés à l'oreille, lunettes noires, habillés avec soin, ces gardes du corps doivent faire face à des menaces de plus en plus nombreuses et complexes.
En plus du classique tireur d'élite embusqué, ils se préparent désormais à tous les types d'attentats terroristes, de la voiture piégée au kamikaze à la ceinture d'explosifs.
Qui sont ces policiers d'exception ? Comment restent-ils opérationnels ?
Pendant six mois, une équipe d'«Enquête exclusive» a obtenu l'autorisation de filmer les agents du Service de Protection des Hautes Personnalités.

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La Légion étrangère est un corps d'élite de l'armée française qui regroupe huit-mille hommes de cent-trente-huit nationalités différentes.
Mais la route est longue pour parvenir à en intégrer les rangs.
Avant d'être envoyées en mission, les nouvelles recrues doivent d'abord réussir à passer un premier obstacle : l'impitoyable épreuve de sélection.
Puis elles doivent commencer leur apprentissage par une formation intensive d'environ dix-huit semaines.
Cette enquête permet de découvrir ce qui se cache derrière le cliché de l'homme au képi blanc.

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Cette semaine, l'équipe de tournage a suivi un groupe d'une vingtaine de jeunes gens, dont trois filles, issus de grandes écoles ou d'un troisième cycle universitaire, qui intègrent l'Ecole directement
en troisième année.
Ces jeunes élèves, tous âgés d'environ vingt-cinq ans, sont destinés à commander plusieurs unités militaires. Ils vont suivre de nombreux cours théoriques de commandement et de stratégie et également mettre en pratique leur savoir au cours d'une semaine d'entraînement dans les conditions du réel, en formation de campagne, au Bois du Loup.

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